28 août 2011

Un lieu de vacances de rêve : Biscarrosse



Biscarrosse, mon lieu de vacances favori. Là où j'ai passé toutes les vacances de mon enfance. Je me souviens clairement de tellement de choses. De nos road trips dans le camion aménagé de mon père, du parking privé où nous passions nos nuits entourés de vers luisants, des douches clandestines que nous prenions le matin dans un camping qui ne contrôlait pas les entrées, du ponton du lac duquel je sautais sans cesse pour retomber dans les grands bras de mon papa, des repas pris sous les pins un peu en dehors de la ville, du château gonflable et des voitures-robots que je conduisais tous les soirs, de la glace italienne rituelle mangée en longeant la rue piétonne, du chanteur qui chaque soir jouait les mêmes refrains... Je peux dire que j'ai eu une belle enfance.


Et en y retournant quelques années plus tard (en août 2009) pour faire découvrir ce merveilleux endroit à mon petit frère de 5 ans, il est clair que la magie était toujours au rendez-vous, le ponton en moins cependant. Mais les glaces, les beignets de calmars, les vagues, les spectacles du soirs étaient bien là.

Quelques spectacles

Nous avons même revu le fameux chanteur à une terrasse de café et avons discuté avec lui. L'idole de mon enfance.

Petite virée obligatoire sous les pins pour un repas traditionnel.

Et pour finir, la Dune du Pyla (ou Pilat). Ce n'est pas faute de connaître le lieu, mais cela reste une expérience géniale. Tellement que je la grimpe à chaque fois que je vais à Biscarrosse. La preuve en Août 2011, avec mon amie d'enfance, Amandine.

13h de route cette fois-ci, en train et bus. Une journée interminable.
Oui je suis fatiguée.

Tente cassée dès l'arrivée à cause d'un week-end que j'avais fait deux mois avant (les personnes qui l'avaient repliée s'étaient bien gardées de me dire qu'elles avaient eu un léger souci...), une tempête ayant frappé le soir de l'anniversaire d'Amandine et ayant inondé la tente alors que nous étions au restaurant. Mais les classiques en valaient la peine.